Le point de départ de cette réflexion part d’un sujet paradoxal et complexe : compléter un monument dont l’histoire et l’aspect ont été marqués, suite à la Révolution, par une destruction importante après une très faible occupation.
Le parti pris pour l’extension est de s’ancrer dans les éléments existants, au travers d’un discours se voulant provocateur et considérant que le patrimoine ne doit pas nécessairement être vu comme une structure figée et intouchable qu’il faudrait systématiquement muséifier. Il peut être, au contraire, un élément vivant, généreux et capable qu’il convient de réinterpréter et d’intégrer à de nouveaux enjeux, qu’ils soient programmatiques ou bioclimatiques.